4.1 Description4.1.1 Classification4.1.2 Épidémiologie4.1.3 Pathophysiologie4.1.4 Facteurs contributifs4.1.5 Diagnostic différentiel4.1.6 Références4.2 Évaluation4.3 Traitement
La TTH a porté divers noms dans le passé, tels que céphalée psychogénique, céphalée du stress, céphalée psychomyogénique, et céphalée de contraction musculaire, démontrant le peu de compréhension historique au sujet de sa pathophysiologie. En 1988, l’ICHD s’est finalement arrêté sur le terme anglophone tension-type headache, reflétant alors le fait que des tensions, musculaires ou mentales, semblaient impliquées dans la pathophysiologie de la TTH [17]. Ce n’est que récemment que diverses études ont commencé à lever le voile sur les mécanismes sous-jacents [18-20].
POURSUiVRE
La TTH peut être accompagnée de sensibilité, ou non, à la palpation des muscles péri-crâniens.
par Eric Rousseau