Récemment il a été démontré que le CGRP n’est pas toujours présent lors d’une crise migraineuse. Ceci peut expliquer en partie la grande variabilité de réponse aux différents traitements.
PATHOLOGiES
Pourquoi l’implication de la posture serait plus prévalente chez les sujets avec céphalée de tension ?
Une explication complémentaire pour l’implication de la posture dans la céphalée de tension est peut-être en partie reliée à une dysfonction du phénomène de la relaxation en flexion.
Quoique le diagnostic d’étourdissement cervicogénique repose essentiellement sur un processus d’exclusion, quelques tests spécifiques ont toutefois été proposés.
La céphalée hypertensive a été décrite depuis déjà plus d’un siècle. Quoiqu’au fil du temps, il y a eu controverse quant à l’existence de cette céphalée, elle est maintenant bien acceptée.
Une céphalée médicamenteuse peut survenir lorsque la médication vient qu’à causer elle-même la céphalée.
Il semblerait que certaines personnes voient tout le temps embrouillé comme s’il y avait un filtre similaire à la neige que l’on voit sur une vieille télé mal synthonisée.
Il semblerait que le cerveau des patients anxieux ne semble pas gérer adéquatement les conflits sensoriels, ce qui contribuerait aux symptômes d’étourdissements.
Les commotions cérébrales au hockey sont fréquentes mais peuvent être difficiles à diagnostiquer, surtout dans le feu de l’action.
Survol de la pathophysiologie de la céphalée et de la photophobie qui accompagnent souvent la commotion cérébrale.
La posture peut influencer la migraine, en particulier lorsque la posture dévie de la posture statique idéale, par une augmentation de la distance entre le menton et sternum.